Destinée à sensibiliser sur le partage des tâches ménagères, la campagne #DoItTogether d’Indesit a été initiée en 2017 et renouvelée plusieurs fois déjà. Un hashtag que la marque remet sur le devant de la scène cette année, avec une nouvelle communication 100% digitale.
Pour éviter que le fonctionnement des appareils électroménagers n’apparaisse comme un frein dans le partage des corvées, Indesit met en lumière une gamme d’appareils posables et encastrables, dotés de fonctions ultras simples et accessibles à tous. Parmi elles, la fonction "Push&Go" (disponible sur ses lave-linge et lave-vaisselle) pour lancer les programmes automatiques les plus fréquemment utilisés à partir d’un unique bouton. Les internautes peuvent également découvrir la fonction "Fast&Clean" sur les lave-vaisselle pour un lavage optimal de tous les couverts en 28 minutes, ou le "Turn&Go" sur les fours Indesit, une fonction de cuisson automatique d’une heure à 180°C. Objectif de cette campagne : sensibiliser les ménages à un partage des tâches plus équitable et alléger la charge mentale de certaines. Car oui, les femmes sont encore les plus impliquées en la matière. Et ce sont les chiffres qui le disent…

Un partage des corvées encore inégalitaire

Selon une étude menée en 2022 par Eurofound et reprise par Indesit, des efforts sont certes concédés dans certains foyers, mais les femmes restent encore les plus impliquées dans les corvées ménagères. En effet, l’enquête démontre que dans l’Union Européenne, les femmes consacrent en moyenne, et chaque semaine, environ 11 heures de plus que les hommes aux tâches ménagères et garde d’enfants. Elles sont également plus susceptibles d’effectuer des tâches ménagères longues et non arbitraires (préparation des repas, nettoyage, lessive), tandis que les hommes réalisent des tâches occasionnelles et discrétionnaires, comme le jardinage et les réparations à domicile (Coltrane, 2000). Bien que les mentalités évoluent, il y a donc encore fort à faire pour que les différents membres de la famille prennent part aux corvées. Une habitude qui pourrait être inculquée "dès un très jeune âge", comme l’explique une étude publiée dans la revue scientifique Australian Occupational Therapy en 2020, à condition que les corvées soient envisagées de manière ludique.