La lettre d'information des spécialistes en Electroménager et Solutions Numériques | 7 février 2020 / 493 | ||
A LA UNE
Le marché global de l’électroménager se porte bien. En 2019, il a enregistré une croissance de 3,7% en valeur. Les GSS, dont le poids ne cesse de progresser ces dernières années, ont largement contribué à cette croissance. Quant à la vente online, elle poursuit également sa progression, occupant notamment une place de plus en plus importante dans les ventes de petit électroménager.
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LA SÉLECTION...
... DE LA RÉDACTION
Après une année 2018 marquée par une pause, le marché français de l’électroménager a renoué avec une belle dynamique (+ 3,7%) atteignant un CA de 8,8 milliards d’euros pour pratiquement 70 millions d'appareils vendus au total (chiffres GfK et Gifam). Le gros électroménager, notamment stimulé par l’encastrable et porté par l’innovation affiche une croissance de 3,1% en valeur et 2,9% en volume. Lavage, froid, cuisson : toutes les familles de produits en ont profité.
À peine positif en 2018, le marché du petit électroménager a remis le turbo en 2019. Il a ainsi dégagé un chiffre d’affaires de 3,4 milliards d’euros, en croissance de 4,7%. 54,2 millions de petits appareils électroménagers ont été vendus.
Le marché français de l’équipement de la Maison s’est établi à 27,7 milliards d’euros en 2019. Il a reculé de 187 millions d’euros (- 0, 7%). Mais ce chiffre global masque de forte disparités. Si les marchés de du gros électroménager et du petit électroménager sont revenus à de haut niveaux, ce n’a pas été le cas pour la quasi-totalité des marchés de l’électronique grand public...
Année après année, ce cap symbolique se rapprochait. Et c'est en 2019 qu'il est atteint, avec des ventes en ligne qui ont atteint et même dépassé les 100 milliards d"'euros, à 103,4 milliards exactement. Une hausse de 11,6% qui représente un volume total de 1,7 milliards de transactions. Voici en détails les chiffres et analyses communiqués par la Fevad le 5 février 2020.
Pour un magasin traditionnel, considéré comme une TPME et bénéficiant d'un site e-commerce, la complémentarité des ventes en ligne et physiques est une évidence. Et peut générer du volume d'affaires supplémentaire, même si l'on est implanté dans des petites agglomérations. C'est ce que révèle la 13e étude du profil du e- commerçant TPME réalisée en partenariat avec Oxatis, la Fevad, et le centre de recherche de Kedge Business School.
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