Le papier n'est pas le plus écologique, au contraire...
En France, le marché du séchage des mains est constitué à environ 75% d’essuie-mains en papier (vierge ou recyclé), 15% de sèche-mains électriques et 10% de rouleaux de tissu. Si chaque citoyen européen utilisait les toilettes une fois par jour, pendant un an, et utilisait à chaque fois deux essuie-mains papier pour se sécher les mains, la quantité de déchet générée pourrait alors recouvrir la totalité de Londres, Paris, Berlin, Amsterdam, Vienne, Bruxelles et Rome… deux fois ! Mais surtout, les fabricants d’essuie-mains papier soufflent sur les idées reçues selon lesquelles le papier serait plus écologique car recyclé et / ou recyclable. Ce qui est faux, comme le démontre aujourd’hui cette étude ACV.
La première étude du genre qui compare les performances environnementales des différentes méthodes de séchage des mains
Pour la première fois, une grande institution étudie en détail, et de façon universelle et scientifique, la manière dont les produits - essuie-mains papier, rouleaux de tissu en coton, sèche-mains conventionnels à air chaud, sèche-mains XLERATOR® à air pulsé et Dyson Airblade™ - sont fabriqués, utilisés, et leur impact global sur l’environnement.
Les chercheurs ont pris en compte toutes les étapes du cycle de vie, "du berceau au cercueil"
(matériaux, production, fabrication, utilisation et fin de vie) pour que les résultats de l’étude
montrent l’impact de ces méthodes sur les émissions de CO2, l’utilisation des sols, la
consommation d'eau, la santé humaine, la qualité de l'écosystème, et l’utilisation des ressources.
Cette analyse a été conduite conformément aux normes ISO 14040 et 14044, et a pris en compte
L’étude américaine a mis au jour que l’impact environnemental des essuie-mains recyclés est quasiment le même que celui des essuie-main vierges, selon un certain nombre de critères tels que les émissions de CO2 et la consommation d’eau. En France, les essuiemains en papier vierge ou recyclé génèrent dix fois plus d’émissions de carbone que le Dyson Airblade™. Ils produisent ainsi plus de déchets, utilisent plus d’énergie et consomment plus d’eau.
Les déchets ne représentent qu’une fraction de la totalité de l’empreinte carbone du papier recyclé : 48% est produite lors de la fabrication - notamment à cause de l’énergie, de l’eau, et des produits chimiques utilisés. A contrario, le Dyson Airblade™ ne produit aucun déchet. L’analyse complète du cycle de vie des méthodes de séchage des mains a permis à Dyson de localiser où les améliorations techniques pouvaient être apportées, de façon à réduire l’impact environnemental de ses technologies.
Les limites des sèche-mains électriques conventionnels
Contrairement aux essuie-mains papier – qui produisent une grande partie de leur impact environnemental lors de la fabrication – les sèche-mains électriques à air chaud, comme la plupart des appareils électrodomestiques, produisent le plus fort de leur impact environnemental lors de l’utilisation. Les éléments chauffants sont énergivores et les moteurs inefficaces offrant un faible rendement énergétique. A contrario, le Dyson Airblade™ consomme jusqu’à 80% d’énergie en moins et il faut 10 secondes d’utilisation seulement pour sécher les mains.
Des avancées technologiques au profit de vraies avancées pour l’environnement
Selon Dyson, le sèche-mains Dyson Airblade™ répond à trois problématiques fondamentales en matière de séchage des mains : la rapidité, l’hygiène, et l’écologie. Doté d’un moteur numérique breveté (le Dyson Digital Motor), il pulse à 640 km/h un air purifié à 99,99% au travers d’un filtre HEPA, et sèche les mains en 10 secondes seulement grâce à un rideau d’air qui balaie l’eau des mains. Il consomme jusqu’à 80% d’énergie en moins qu’un sèche-mains à air chaud, précisément parce qu’il n’a pas à chauffer l’air pour évaporer l’eau des mains - processus long et coûteux en énergie. Grâce à ces avancées, Dyson a remis en perspective la manière dont les sèche-mains étaient fabriqués, en insufflant la notion inexistante auparavant de rendement énergétique, et a renforcé les standards.