Il faut dire que l'astreinte fixée par la justice française, 100 000 euros par infraction, pourrait selon le groupe se chiffrer à un milliard d'euros par semaine en cas de taux même infime de traitement accidentel de' produist non autorisés (0,1%).
Même si les autres entrepôts d'Amazon et les entreprises présentes sur la marketplace peuvent livrer en direct, la situation n'est pas facile dans l'hexagone pour le géant mondial qui revendique le leadership du commerce en ligne français (jusque 36% pendant la période de confinement). Et s'interroge dans un communiqué sur la décision judiciaire, qui "nous conforte dans l'idée que l'enjeu principal n'est pas tant la sécurité, que la volonté de certaines organisations syndicales de tirer parti d'un processus de consultation complexe avec les comités sociaux et économiques"