Ce n’est pas la première fois que le fabricant turc est récompensé pour ses efforts en matière de développement durable. Déjà reconnu « Global Lighthouse » pour l’adoption de technologies de la 4e révolution industrielle en 2019 pour son usine d’Ulmi en Roumanie, puis en 2021 pour celle d’Eskisehir, le groupe compte aujourd’hui une nouvelle reconnaissance. Désigné « usine phare » du développement durable pour le WEF, le site d’Ulmi figure ainsi parmi les usines mondiales les plus performantes en termes de durabilité environnementale. « Notre usine d'Ulmi fait office de laboratoire et sert d'exemple à l'ensemble de l'écosystème Arçelik. Nous avons entrepris de construire non seulement un site industriel 4.0 efficace en termes de production, mais aussi une unité qui reflète notre engagement à contribuer à un avenir meilleur. Et cette consécration est bien méritée, grâce à des investissements dans des technologies de pointe et des applications de production verte. Je suis fier de tous mes collègues qui ont travaillé dur et avec dynamisme pour y parvenir », se réjouit Hakan Bulgurlu, PDG d'Arçelik.

Objectif zéro émission nette d’ici 2050

Un engagement environnemental que souhaite poursuivre et accentuer le groupe ces prochaines années, avec l’objectif d’atteindre zéro émission nette pour l’ensemble de ses opérations d'ici 2050. Il s’agira donc pour Arçelik de poursuivre ses investissements en misant sur les énergies renouvelables, ainsi que sur l’efficacité énergétique des produits et leur production.
Des efforts que mène déjà le groupe au travers de son usine d’Ulmi en Roumanie et qui lui ont permis d’être récompensé une nouvelle fois. Parmi ses réalisations, l’utilisation d’électricité verte à 100%, la gestion automatique des systèmes de chauffage, de refroidissement et d’éclairage, ou encore la mise en place d’une station d’épuration qui traite 100% des eaux domestiques et industrielles et permet à Arçelik d’en recycler et réutiliser 68%. Des efforts qui ont notamment permis d’éviter l’émission de 684 tonnes de CO2, sur le seule site d’Ulmi depuis sa mise en service.