Par Vincent Dupayage
« Le marché de la tablette reste toutefois un marché volumique qui génère des ventes d’accessoires importantes, l’objectif étant de vendre le produit et son écosystème.
Tout d’abord, les accessoires dédiés, que sont la protection dans sa globalité, les cartes mémoire, les solutions de charge…
Idéalement le rayon tablette doit être en libre touché, les accessoires devant être situés en dessous. Si l’accessoire est au fond du magasin, peu de chance de le vendre, la clarté et la cohérence d’implantation font vendre, c’est incontestable. En expliquant la tablette, le vendeur propose spontanément l’accessoire adéquat (synchronisation physique et verbale).
Comment vendre une enceinte nomade avec une tablette ?
C’est une vente complémentaire rarement proposée, et c’est dommage car avec cet accessoire la tablette gagne en intérêt.
Tout d’abord, je suggère de mettre une enceinte nomade à 49 € en démonstration active dans le rayon tablette, et c’est là que prend toute la plus-value du vendeur. Dans une bonne démonstration.
« Monsieur, savez-vous ce que vous pouvez faire avec votre tablette…» !
Vous poussez le contenu audio du « device » vers l’enceinte nomade.
« Il suffit juste que votre smartphone ou tablette soit bluetooth. De plus, regardez c’est autonome, cela fonctionne dans votre salon, votre jardin ou même en vacances… »
Dans le rayon tablette, mettez 3 modèles sous blister , 49 €, 79 € et 99 €. Le client prend le modèle à 79 € et passe en caisse, parfait.
Enfin, ne pas négliger la garantie casse, généralement peu couteuse, qui prend ici, tout son sens sur les produits nomades. Si le client a des enfants en bas âge, pour 2 à 3 € moi, il pourra assurer sa tablette.
En finalité, on gagne plus sur les accessoires et les services que la tablette, peu rentable. Un grand classique qu’il ne faut cependant jamais oublier.
Bonnes ventes à tous !
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