Echo Studio d'Amazon, le test

Echo Studio d'Amazon, le test

le 22 février 2020
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Alors qu'aux Etats-Unis, la part de marché d'Alexa sur le secteur des enceintes connectées atteint près de 70%, notre partenaire avcesar.com a testé l'Echo Studio, dernière née des enceintes multiroom d'Amazon. Et c’est la note de 5 étoiles, sur 6 qui a été attribuée à Echo Studio, proposée au prix de 199 euros...


Un prix ultra‑serré, un design élégant, des qualités indéniables, voilà qui devrait faire le succès de l’Echo Studio, dernière née des enceintes Alexa mutiroom d’Amazon. Certains lui trouveront des petites allures d’HomePod, célèbre enceinte de la marque à la pomme. Pourtant, outre leur positionnement tarifaire, ces deux équipements ont assez peu de choses en commun. Déjà, leur assistant vocal les différentie. Bien évidemment, pour son Echo Studio, Amazon a opté pour Alexa. Elle s’intègre donc à cet écosystème et à lui seul. Elle est capable d’en exploiter au mieux toutes les possibilités, et elles sont vastes. Par exemple, outre la possibilité de coupler deux Echo Studio pour disposer d’une vraie restitution stéréophonique, c’est le premier dispositif d’enceinte intelligente que nous testons capable de répondre aux exigences d’une véritable restitution en Dolby Atmos. Une spécificité qui est liée à la structure même des Echo Studio.

 

 

5 haut-parleurs et compatibilité Dolby Atmos

L’architecture interne des Echo Studio est, en effet, assez innovante. Elle s’articule autour de cinq haut‑parleurs. La restitution du grave est confiée à un boomer à fort débattement d’un diamètre de 133 millimètres. Les basses qu’il génère sont diffusées par deux larges évents situés à la base de l’enceinte. Trois haut‑parleurs large bande de 51 mm prennent en charge la restitution des médiums. Les deux premiers sont logés à droite et à gauche de la « façade ». En effet, bien que l’Echo Studio soit cylindrique, la découpe des évents et les commandes permettent de repérer cette « façade ». Cette disposition assure donc une restitution stéréophonique même lors de l’utilisation d’une unique enceinte. Lors de nos tests, nous avons pu constater que, dans ce cas, le mieux est de loger l’Echo Studio en coin de pièce. Ainsi la réflexion sur les murs élargit très nettement son espace stéréophonique. Le troisième haut‑parleur large bande est, pour sa part, logé au sommet de l’enceinte. C’est là toute l’astuce. Non seulement il offre à l’Echo Studio un rayonnement acoustique à 360° mais, par réflexion sur le plafond de la pièce, il donne accès à la restitution en Dolby Atmos. Enfin, un tweeter frontal vient assister les haut‑parleurs large bande dans la restitution de l’extrême aigu. Un jeu d’amplificateurs numériques travaillant en Class D vient alimenter ces haut‑parleurs. Au total, ils cumulent une puissance de 330 watts.

 

 

Connectique de l'Echo Studio

Côté connectique, l’Echo Studio reste assez limitée. Il est clair qu’elle est conçue pour travailler en mode connecté via sa liaison Wi‑Fi. Une liaison Bluetooth est tout de même disponible pour qu’elle puisse accéder directement aux contenus d’un smartphone, par exemple. De même, une prise mini‑Jack 3,5 mm fait à la fois office d’entrée auxiliaire analogique et d’entrée optique. Enfin, plus original, une liaison Zigbee est également présente pour pouvoir piloter des objets connectés, comme ampoules, prises, serrures, etc. depuis l’Echo Studio.

 

 

Ergonomie de l'Echo Studio

Le jeu de commandes est lui aussi assez réduit. Sur la face supérieure de l’enceinte, deux poussoirs proposent d’accroître ou de réduire le niveau d’écoute. Un autre offre la possibilité d’inhiber le microphone tandis qu’un dernier poussoir, baptisé Action, active l’assistant vocal sans avoir à prononcer le mot‑clé « Alexa ». Ce « tableau de commande » se résume donc à quatre poussoirs. On ne peut guère souhaiter plus simple. À ce sujet, nous nous sommes interrogés sur la sélection de l’entrée analogique ou numérique optique, aucun sélecteur de source n’étant présent. En fait, elles sont automatiquement activées lorsque l’assistant vocal n’est pas en cours d’utilisation et qu’aucune musique provenant du réseau n’est diffusée. En revanche, dès qu’un programme musical est demandé par l’intermédiaire d’Alexa, il prend automatiquement la main.

 


  CONCURRENCE

Bose a présenté son Home Speaker 500 (449 €). Pour son assistant vocal, la marque a également opté pour Alexa. S’insérant dans l’écosystème de la marque, il peut aussi se transformer en satellite de sons d’ambiance en association avec une barre de son.

 

Sonos aussi a opté pour Alexa en tant qu’assistant vocal et propose donc des versions de ses enceintes ainsi configurées (il est possible d’opter pour Google Assistant via l’application Sonos). La petite Play One de la marque, proposée à 229 € s’en dote donc. Elle reste bien entendu compatible avec l’écosystème multiroom de la marque.

 

Pour son HomePod, à 349 €, Apple reste fidèle à Siri. Si le taux de reconnaissance est parfois en retrait, Apple a, en revanche, misé sur la qualité de la restitution sonore en tentant de corriger automatiquement les imperfections d’acoustique de la pièce.

 

L’enceinte VC‑GX30 que propose Onkyo à 249 € a fait le choix de Google Assistant. Elle base son utilisation en mode multiroom sur ChromeCast.

 

Enfin, n’oublions pas la gamme Citation, basée sur Google Assistant, que propose Harman Kardon, et notamment la Citation 100 à 299 € (cliquez sur le lien pour découvrir le test complet du produit par la rédaction d'AVCesar.com), qui constituent son modèle de milieu de gamme.

 

Lire la suite et le verdict technique sur avcesar.com

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