Test du TV Hisense H70NU9700

Test du TV Hisense H70NU9700

le 19 décembre 2017
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5 étoiles pour ce téléviseur ULED d'Hisense d'une belle diagonale de 178 cm. Et méritées selon notre partenaire avcesar.com,qui a testé cet appareil issu de la 3ème génération du fabricant chinois.

 

 

"Pour remettre les choses dans leur contexte, nous avons découvert le constructeur chinois Hisense en 2015 avec le téléviseur Uled Hisense 65XT910, un spécimen qui nous avait très agréablement surpris par ses performances de haut niveau pour un prix très contenu. Son seul véritable souci alors, une interface peu ergonomique liée à un Firmware très perfectible. En 2016, nous testions la seconde génération Uled avec le Hisense 65M7000 avec, à la clé, de réels progrès réalisés au niveau software. Toutefois, ce téléviseur était éloigné du concept Uled tel que la marque nous l'avait présentée (absence de système de rétroéclairage Full LED Local Dimming par exemple). Résultat, nous constations de moins bonnes performances que son prédécesseur.

Aujourd'hui, nous testons donc la troisième génération TV Uled avec le Hisense H70NU9700 avec l'espoir de retrouver l'ADN du Uled XT910 associé à un software abouti, soit le mix parfait des atouts des téléviseurs de la marque passés entre nos mains ces deux dernières années. En effet, sur le papier, ce spécimen à tout pour séduire avec son rétroéclairage Full LED Local Dimming, sa dalle VA Ultra HD avec technologie Quantum Dots et toutes les compatibilités nécessaires pour profiter pleinement des disques Ultra HD Blu‑Ray, le tout pour un prix indicatif très agressif de 3 499 € compte tenu de son équipement complet et de sa dimension taillée pour le grand spectacle avec près de 178 cm de diagonale ! Nous allons donc vérifier si ce Hisense H70NU9700 répond à nos attentes après l'avoir examiné sous toutes les coutures…
 


Hisense H70NU9700 : le retour du véritable ADN Uled ?
Si le TV Hisense NU9700 propose effectivement un équipement digne d'un véritable Uled, en revanche il conserve le même type de dalle présent sur le M7000 de 2016, soit d’obédience 8 bits FCR Dithering (simulation 10 bits à partir d'une dalle 8 bits). D'autre part, si on se réfère au 65M7000, évidemment le 70NU9700 représente une belle évolution en passant d'un rétroéclairage LED Edge à Full LED associé à une plus forte luminosité (1 000 nits annoncés au lieu de 500). Rappelons dans le même temps que le Hisense 65XT910 de 2015 était lui aussi un spécimen Full LED, doté de 244 zones. Or, ici, nous devons nous contenter d'un procédé Local Dimming comptabilisant 128 zones indépendantes, ce qui à première vue peut paraître un peu juste pour une telle taille d'écran (178 cm de diagonale) et surtout pour gérer la technologie HDR sans générer d'effet de Blooming. Nous verrons ce qu'il en est sur le terrain. Hisense utilise en effet une dalle VA très contrastée et une technologie HDR Supreme bien plus efficace que les années précédentes (soit une compatibilité HDR10 avec 1 000 nits annoncés associés à un algorithme de « Peaking » pour booster les zones très lumineuses ou brillantes de l'image sans affecter la profondeur du noir). Et si vous suivez régulièrement les tests sur AVCesar.com, vous savez à quel point les mesures du pic lumineux en HDR peuvent varier en fonction des techniques utilisées. Nous verrons donc ce qu'il en est après nos mesures proposées dans la section Verdict Technique de ce test. Rapidement, et sans rien dévoiler de primordial dès les premières lignes de ce banc d’essai, ou presque, en ce qui concerne le filtre Quantum Dots (cf. schéma ci‑dessous), il s’avère proche de celui proposé sur le XT910, avec une couverture Rec.2020 très proche, des couleurs toujours aussi dynamiques même à forte luminosité, mais avec une meilleure gestion colorimétrique. Voilà qui est prometteur.
Autre élément clé de cet écran Uled, la présence d'une compensation de mouvement MEMC (Motion Estimation/Motion Compensation) dotée d'un indice PCI 2700 (Picture Criteria Index) et gérée par le processeur FRCX, en plus d'un processus Backlight Scanning (une dalle 100 Hz avec un balayage rapide de bandes noires pour réduire la rémanence) pour une meilleure précision de l'image en mouvement, même lors de scènes rapides. Hisense ne communique pas sur le processeur vidéo employé, mais semble avoir conservé le même que sur les XT910 et M7000. On s’attend donc à un Upscaling 2 160p plutôt efficace et un post‑traitement vidéo performant avec filtre de netteté associé à deux réducteurs de bruit (Mpeg NR et Mosquito NR).

 


Une partie audio toujours aussi intéressante
Hisense a pris pour habitude de soigner la section audio de ses TV et conserve le fameux processeur audio Dbx‑TV (cf. photo ci‑dessus) qui nous avait bluffés avec ses possibilités de réglages avancés et surtout ses trois algorithmes Total Sonics, Total Surround, Total Volume. On trouve également plusieurs modes préréglés (Standard, Cinéma, Musique, Voix ou Nuit) et des paramètres avancés pour ajuster précisément le rendu audio à son goût avec un égaliseur cinq bandes. 
Par contre, à l'heure où de nombreux concurrents proposent des compatibilités DTS, Dolby TrueHD voire même Dolby Atmos via HDMI ARC, le Hisense 70NU9700 se contente d'une compatibilité Dolby Digital Plus. Rien de rédhibitoire, évidemment, mais ces limitations peuvent être contraignantes lorsqu'on connecte un lecteur Blu‑Ray directement au TV.
D'autre part, si la section audio est performante en termes software, elle reste assez classique au niveau hardware avec deux simples haut‑parleurs alimentés par une amplification délivrant 2 x 15 W RMS, sans boomer intégré, et sans sortie Subwoofer. Bref, on prédit déjà de très belles performances pour une utilisation classique (regarder des émissions télévisées), mais loin d’égaler celles d’un système audio externe pour les amateurs de films et de sensations fortes. Ah, si seulement une sortie caisson de basses était présente…
 

 
Un design assez classique, mais châssis robuste !


Évidemment, avec un tel rapport qualité‑prix, 3 499 € pour une diagonale de 178 cm, on ne peut pas tout avoir. Si l'équipement est très complet, le design reste assez classique. Bon point, le TV affiche une qualité de fabrication remarquable. Le châssis est, en toute logique, épais (Full LED, on le rappelle) et très robuste avec un cadre en aluminium brossé, un assemblage parfait, sans jeu, un coffre en PVC épais (cf. photo ci‑dessous), et un pied très simple, fixe, composé d'une barre en aluminium épais et qui nécessite un meuble assez large pour accueillir le TV. À savoir, le logo lumineux peut être éteint dans le menu pour ceux qui aiment regarder leurs films dans le noir complet.
 

 
La connectique regroupe l'essentiel avec quatre entrées HDMI dont deux connecteurs HDMI 2.0a, deux ports USB 2.0, un port USB 3.0, une sortie optique S/PDIF, une entrée audio RCA stéréo, Composite et YUV, un port Ethernet, une sortie casque mini‑Jack 3,5 mm, un simple tuner TNT, câble et Sat (DVB‑T2/DVB‑S2/DVB‑C) compatibles HEVC pour la réception des chaînes Ultra HD.
Précisons que les fonctions HbbTV, Smart TV, PVR et Time Shifting sont bien présentes, associées aux ports USB pour le stockage des enregistrements. Nous trouvons également un port CI+ pour accéder aux chaînes payantes. Enfin, le Wi‑Fi est intégré, contrairement au Bluetooth.
 

 
 
Interface mieux structurée et section Smart TV basée sur VIDAA
Nous le précisions en introduction, la section software (interface, réglages et portail d'applications) faisait partie des points faibles des TV Hisense cru 2015. Le géant chinois avait déjà considérablement amélioré ce point en 2016 avec l'intégration de la technologie VIDAA. On reste donc dans le même esprit puisque Hisense conserve VIDAA, mais l'interface a été repensée. Elle est désormais bien plus rapide, fluide, claire, avec un bandeau modulable qui s'affiche en Pop‑Up pour accéder rapidement aux applications, chaînes TV de votre choix, sources ou réglages (cf. schéma ci‑dessous). Les paramètres Image offrent également des possibilités de calibrage largement plus professionnelles qui permettent de se rapprocher des standards colorimétriques utilisés par l'industrie du cinéma.

 
En effet, en premier lieu, nous trouvons plusieurs modes Image (Standard, Cinema Jour, Cinema Nuit, PC/Jeu, Dynamique, Naturel). Si la source utilise un gamut Rec.2020, d'autres modes sont accessibles comme HDR Nuit, HDR Jour, HDR Jeu, HDR Dynamique. Évidemment, chaque mode peut être affiné avec de nombreux réglages manuels, de plus classique au plus expert.

En dehors des réglages habituels tels que Contraste, Luminosité, Rétroéclairage, Saturation, Teinte, on trouve également un Contraste Adaptatif (Faible, Moyen et Élevé), un mode Température de couleur préréglé sur Standard, Froid ou Chaud ou Personnalisé. Idem du côté de la compensation de mouvement, on remarque plusieurs modes prédéfinis (Film, Effacé, Standard ou Homogène) et un réglage Personnalisé (cf. photo ci‑dessous). Cette aide à la fluidité est basée sur la technique du Backlight Scanning qui balaye l'écran avec des bandes noires très rapides pour améliorer la précision de l'image en mouvement, contrairement au BFI qui insère une frame noir entre chaque image, ce qui offre une image encore plus précise, mais un effet Flickering plus prononcé (image qui scintille légèrement, ce qui peut entraîner une fatigue oculaire chez certaines personnes. Chacun a ses préférences et ses sensibilités par rapport à ces deux technologies). Bref, ici le mode Personnalisé propose deux réglages, un pour améliorer la précision, l'autre pour améliorer la fluidité, sachant d’une part que plus l'image sera précise, plus le scintillement sera présent, d’autre part que plus l'image sera fluide et plus les artefacts autour des objets en mouvement et l'effet caméscope seront visibles.
 


Pour améliorer la qualité de l'image, un post‑traitement efficace propose deux réducteurs de bruit (Mpeg et DNR) sur trois niveaux, ou encore un réglage Sharpness de 0 à 100 qui permet d'affiner très précisément la qualité du piqué, des contours et du relief de l'image. Attention toutefois à la puissance de ces réducteurs de bruits qui ont tendance à entraîner des images flottantes, des flous et une perte de piqué. Il faut les doser très finement, surtout le réducteur Mpeg, voire les désactiver en présence de contenus HD et Ultra HD. Le DNR est surtout utile avec la TNT, le Mpeg avec les films SD qui affichent des artefacts de compression.

En ce qui concerne les Paramètres experts (pour le calibrage professionnel donc), on trouve désormais une balance des blancs sur 10 points (cf. photo dans la section Verdict Technique de ce test) et un CMS (Color Management System) sur trois axes avec la possibilité d'ajuster les couleurs primaires et secondaires. Il est possible de calibrer en Rec.709 ou Rec.2020 même si le choix de ces profils ne figure pas dans l'interface. Le TV bascule automatiquement sur l'espace colorimétrique de la source, mais manuellement, nous avons uniquement le choix d'opter pour une gamme de couleurs en Natif (du Wide Gamut qui exploite la totalité des capacités de la dalle) ou Auto (qui se cale automatiquement sur celui de la source). Par contre, pas d'éditeur de gamma, mais plusieurs profils préréglés (Gamma 2.0, 2.2, 2.4 ou ITU.1886 (cf. photo ci‑dessous), sachant qu'en HDR il bascule automatiquement en ST.2084). Toutefois, les réglages de contraste, luminosité et colorimétrique permettent d'obtenir un gamma très linéaire, ce qui change des années précédentes. En effet, jusqu'ici, les TV Hisense avaient tendance à proposer une courbe de gamma qui manquait cruellement de linéarité ce qui rendait le calibrage très compliqué.
 


Présente également la possibilité de désactiver ou activer le Local Dimming sur deux niveaux (Élevé ou Faible). Évidemment, concernant une dalle VA Full LED dotée d'un contraste natif aussi puissant, nous ne voyons pas l'intérêt de le désactiver, mais la possibilité existe. Plus rare, un Contraste Adaptatif (en plus du réglage de contraste habituel), est disponible. C’est d'autant plus intéressant pour optimiser l'affichage HDR, puisqu'il permet d'adapter la puissance du rétroéclairage en fonction de chaque scène pour offrir des noirs plus profonds. Cela dit, il a aussi des inconvénients, il engendre un effet de solarisation qui peut gêner les amateurs de rendu naturel avec de beaux dégradés de couleurs, d'autant plus que la solarisation peut parfois entraîner un phénomène de postérisation, surtout en HDR. Ceci est d'autant plus valable qu'ici, pour rappel, nous avons affaire à une dalle qui simule un affichage 10 bits, et non du 10 bits natif (8 bits FRC Dithering). Par contre, l'effet de pompage est très discret, pas vraiment gênant.
 

 
Du côté des applications, c'est vraiment très complet. En optant pour VIDAA, Hisense a clairement étoffé son offre et propose désormais un portail d'applications riche. Il serait évidemment trop long de toutes les lister, mais on peut citer Netflix compatible 4K/HDR, Youtube, AccuWeather, Plex, Deezer, la VOD Wuaki.tv, Viméo, Dailymotion, Facebook, des services de TV de rattrapage (cf. photo ci‑dessous). Il est également possible de personnaliser son interface avec les applications de son choix. Vous pouvez également y placer un accès rapide à vos chaînes TV préférées ou aux sources connectées au TV via HDMI, USB, UPnP, etc. Enfin, la télécommande donne accès directement à différents services comme YouTube, Netflix ou encore Wuaki.tv via des touches dédiées (cf. photo ci‑dessus). 
 


Une section multimédia assez basique, mais souvent suffisante
Pour la grande majorité des utilisateurs, la section multimédia du Hisense H70NU9700 s’avère suffisante, puisqu'un grand nombre de formats et codecs audio, vidéo, sous‑titres et image sont parfaitement lus y compris le H.264/X.264 (AVC), H.265/X.265 (HEVC), VP9, HDR10, Rec.2020, MKV, AVI, WMV HD, FLV, DTS, Dolby Digital, Flac. Il est possible de changer de piste audio ou sous‑titres avec les films dotés de plusieurs pistes, les chapitres sont pris en charge, mais on ne trouve aucune option avancée comme ce que proposent les meilleurs lecteurs multimédias et une gestion très sommaire des sous‑titres (ce qui est assez fréquent sur la plupart des TV). 
D'autre part, en dehors d'une passerelle multimédia UPnP (DLNA), on ne trouve ni Samba, ni possibilité de partager ses médias sur le réseau. Bref, c'est très classique, mais on notera toutefois la présence de Plex qui permet de profiter d'un système de jaquettes très intéressant.

 

Concurrence
Comme nous le précisons dans ce test, le Hisense H70NU9700 est l'un des meilleurs rapports qualité/prix du marché. D’aune part parce que, si on se focalise sur des TV UHD HDR de 70" ou 75’’ dotés d'un rétroéclairage Full LED Local Dimming, il y a peu de candidats et les prix indicatifs grimpent très vite ! Par exemple, Sony propose son KD‑75XE9005 au tarif de 4 990 euros. Pour info, il s'agit d'un très beau téléviseur doté d'un processeur vidéo X1 4K HDR qui délivre des images vraiment splendides. Ce spécimen Android TV propose une interface très moderne ou multiples applications et possibilités multimédias en tout genre et un double tuner TNT/Sat.

Chez les autres concurrents, les TV UHD Full LED à partir de 70" sont encore plus chers et dépassent la barre des 6 000 euros. En clair, si on limite le budget à 5 000 € grand maximum, la concurrence propose du LED Edge haut de gamme. Citons le LG 75SJ955V, doté d'une dalle IPS (donc contraste moins puissant) avec un procédé Local Dimming Advanced qui autorise de vraies zones de contrastes indépendantes grâce à plusieurs rampes de LED isolées les unes des autres. Ce TV propose un équipement et des technologies assez impressionnants avec une compatibilité HDR10, HLG et HDR Dolby Vision, un tuner TNT/Sat, une compensation de mouvement PMI 3100, une conversion des contenus SDR et HDR, et une superbe interface Smart TV sous WebOS 3.5 avec des centaines d'applications et fonctionnalités. Sa compatibilité multimédia et l'une des plus performantes du marché.

Panasonic propose également un modèle intéressant avec le TX‑75EX780E au prix indicatif de 4 490 € sachant qu'il s'agit de l’un des derniers TV compatibles 3D active du marché commercialisés en 2017. Lui aussi est compatible HDR10 et HLG et embarque un processeur vidéo de référence, une interpolation d'image 4K BMR IFC 2400 et le Studio Master HCX2 qui permet de profiter d'une grande fidélité colorimétrique et d’une image très naturelle. En effet, Panasonic propose tous les réglages nécessaires pour réaliser un calibrage professionnel ISF. En dehors de ça, ce modèle est parfaitement équipé avec un double tuner TNT/Sat, une excellente compatibilité multimédia, une prise en charge réseau client/serveur et domotique très étendue (Creston, Control4, etc.), et une interface Smart TV avec de nombreuses applications en tout genre via Internet Apps.

Suite à des prix revus à la baisse, on peut également évoquer le Samsung QE75Q7, on le trouve aujourd’hui aux alentours de 5 000 euros. C’est tout de même 1 500 € au‑dessus du tarif du Hisense. Heureusement les performances sont très intéressantes (cliquez sur la référence pour découvrir le test complet du spécimen 65’’ de la série Q7F : Samsung QE65Q7F), il s'agit en effet de la fameuse technologie QLED du géant coréen qui permet d'offrir des couleurs extrêmement riches et dynamiques et un contraste assez puissant pour du « simple » LED Edge Local Dimming. Qui dit Samsung, dit évidemment un design très moderne et hyper‑fin avec un nombre de technologies et d'équipements tout simplement hallucinant : compatibilité HLG, HDR10 et le mode HDR+, dalle QLED VA 10 bits (couverture à 80% du Rec.2020) avec une luminosité supérieure à 1 500 nits, Micro Dimming Supreme UHD, Auto Motion Plus 200 Hz associé à un PQI 3100, processeur Q Engine, double tuner TNT/Sat, interface Q Smart sous Tizen ultra‑complète, compatibilité multimédia étendue, etc.

 

Lire le verdict technique...

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