Le Sony KD‑65A1 est-il le téléviseur de l’année ?

Le Sony KD‑65A1 est-il le téléviseur de l’année ?

le 5 mai 2017
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Testé en long, en large et pas de travers par notre confrère avcesar.com, le TV Oled Ultra HD de Sony a reçu 6 étoiles sur 6. Et se positionne comme le meilleur téléviseur testé à ce jour par notre partenaire. Un bel objet à grande valeur ajoutée, 5499 euros en prix public indicatif, qui ravira les plus exigeants de vos clients…

 

 

« En test dans les colonnes d’AVCesar.com, le Sony KD‑65A1. Très probablement, depuis sa présentation par le constructeur japonais au salon CES de Las Vegas en janvier dernier, l’un des téléviseurs les plus attendus de l'année. On peut même affirmer que cet écran était attendu depuis plusieurs années, soit depuis le lancement grand public de la technologie Oled ! En effet, qui n'a pas rêvé d'un TV réunissant l'excellence du traitement vidéo et du MotionFlow signés Sony associé à un contraste absolu ? Le tout sans aucun souci de Clouding, Blooming ou autres défauts d'homogénéité ? Bon nombre d’amateurs de belles images et de Home Cinéma, c’est certain, dont la rédaction d’AVCesar.com fait bien sûr partie.

Toutefois, avec l'arrivée de l'Ultra HD, la perfection ne se limite pas aux seuls critères de contraste et colorimétrie. Et comme à notre habitude, nous avons mesuré ce téléviseur sous toutes ses coutures. Et désormais, nous ajoutons un critère d'évaluation à nos tests. Il s'agit de la mesure des performances intrinsèques des diodes utilisées dans les TV, qu'elles soient organiques ou inorganiques.

Pour notre appréciation de l’élément Color Volume (nous avons bien sûr relevé la performance du Sony KD‑65A1), nous avons également l’intention de l’intégrer dans nos futurs bancs d’essai. Mais, pour être honnête, nous ne maîtrisons pas encore totalement celle‑ci. En attendant d’interpréter correctement les données relevées, nous avons préféré ne pas la mentionner. Par contre, une fois notre procédure validée, nous ferons une mise à jour spécifique du Sony KD‑65A1 sur ce sujet. Pour revenir sur la question des mesures, aujourd’hui encore plus qu’hier, avec un seul fournisseur de dalles Oled pour toutes les marques TV (LG Display en l’occurrence), pour bien évaluer un TV il est important d'aller au‑delà des strictes données constatées et d’introduire une part de ressenti totalement subjective. Sinon, au seul regard de nombreux chiffres, bon nombre de TV Oled seraient sur un pied d'égalité…

 

X‑Reality Pro 4K et 4K HDR X1 Extreme au menu

Le Sony KD‑65A1 est clairement un téléviseur de rêve, du moins sur le papier. Notre but avec ce banc d’essai et bien sûr de vérifier si le rêve devient réalité. Évidemment, grâce à la technologie auto‑émissive Oled, ce spécimen part avec de gros atouts dont une promesse de contraste infini et de noirs d'une profondeur abyssale !

Cela dit, Sony se démarque de la concurrence sur de nombreux points. En effet, cela fait plusieurs années que nous vantons les mérites du traitement vidéo Reality Creation. Mais depuis le lancement de la série ZD9 (cliquez sur la référence du Sony KD‑65ZD9 pour découvrir le test complet du produit par la rédaction d’AVCesar.com), le constructeur japonais est allé encore plus loin en associant deux processeurs ultrapuissants, les X‑Reality Pro 4K et 4K HDR X1 Extreme.

On ne présente plus le premier en charge du traitement vidéo pour améliorer le piqué de l'image grâce à deux filtres (Netteté et Résolution) ainsi que des filtres pour corriger le bruit vidéo Mpeg ou Mosquito.

Le second processeur est une évolution du X1 en charge de nombreux paramètres dont l'Upscaling Ultra HD, probablement ce qui se fait de mieux actuellement en la matière grâce à l'utilisation d'un puissant algorithme Dual Data Base Processing qui compare l'image du signal entrant à diverses images UHD de référence stockées dans la mémoire du processeur. Le X1 Extreme intègre aussi de nombreux autres algorithmes d'une efficacité redoutable, comme le Super Bit Mapping 4K HDR (traitement sur 14 bits des couleurs) qui va réduire considérablement l'effet de postérisation en améliorant les dégradés. On trouve également la technologie Object‑Based HDR Remaster qui permet d'ajuster la gamme dynamique de la source selon des capacités de l'écran en fonction de son pic lumineux et de sa gestion de la courbe de transfert EOTF (affichage dynamique de la luminance selon les zones de l'image ; on peut aussi considérer cette courbe EOTF comme un réglage de gamma dynamique au sein d'une même image permettant d'afficher des zones lumineuses très différentes simultanément).

Enfin, l'algorithme Precision Colour Mapping permet, là aussi, d'offrir la meilleure colorimétrie possible en faisant un « remapping » du gamut toujours selon les capacités de couverture colorimétrique de la dalle. Nous sommes donc en présence de deux processeurs qui réalisent un travail très important pour offrir la meilleure image possible, que la source soit SD, HD ou Ultra HD, en 24, 50 ou 60 im/s (malheureusement, pas de compatibilité 3D ici).

Bien sûr, en présence d’un TV Oled, point de réglage Local Dimming au menu (inutile de préciser que l'homogénéité est parfaite, sans la moindre trace de Blooming, Clouding, DSE, ni autres pollutions visuelles, y compris dans les scènes très sombres). En dehors de cette absence, on retrouve tous les réglages proposés sur le ZD9 dont la conversion SDR/HDR X‑Tended Dynamic Range Pro ou encore l'ACE (Advanced Contrast Enhancer). Précisions que lors de notre test du Sony KD‑65A1, la compatibilité HDR10 fonctionnait parfaitement, mais la mise à jour Dolby Vision ou HLG n'était pas encore disponible. Cela dit, il ne devrait pas y avoir de différence en termes de pic lumineux. La différence devrait opérer essentiellement au niveau de la gestion des métadonnées dynamiques.

 

 Dalle 100 Hz native et MotioFlow

Le Sony KD‑65A1 propose donc toute une batterie de réglages pour améliorer l'image. En plus de ceux cités plus haut, on retrouve évidemment la compensation de mouvement MotionFlow (aucune précision sur l'indice de fluidité, mais la dalle est 100 Hz native) dotée de plusieurs réglages, du rendu le plus précis au plus fluide. De plus, comme nous l'avons déjà précisé dans les autres tests, depuis 2015 un nouveau mode Expert fait son apparition pour affiner les réglages à son goût avec une simulation d'affichage BFI (Black Frame Insertion) sur deux niveaux (Mini/Maxi). Cela a pour conséquence d'améliorer la précision des images en mouvement, mais l'insertion d'images noires réduit forcément la luminosité (en mode Expert la luminosité est à peu près divisée par deux avec un signal SDR et par quatre en HDR).

Nous revenons plus en détail sur le Motionflow et la colorimétrie dans le chapitre final (Verdict Technique), mais du côté des réglages, là aussi, c'est exactement identique au Sony ZD9. On peut donc choisir son gamut (Rec.709, DCI/P3 ou Rec.2020, cf. photo ci‑dessous), mais toujours pas de CMS pour corriger l'espace colorimétrique (vous le lirez plus bas, le gamut est tellement juste en sortie de carton que ce n'est pas vraiment nécessaire). En revanche, on trouve bien une Balance des Blancs sur 2P et 10P (cf. photo ci‑dessous) et tous les réglages habituels (Couleurs, Niveau de noir, Luminosité, Teinte).

D'autre part, le Sony KD‑65A1 dispose évidemment de la technologie TriLuminos pour « remastériser les couleurs » dans un espace couleur Wide Gamut sans saturer bêtement ces dernières en étirant les coordonnées et surtout sans dénaturer les teintes de peau. Cela permet de profiter d'une colorimétrie bien plus riche, tout en restant naturelle, même avec des contenus standards en Rec.709, mais aussi d'exploiter le gamut étendu des Blu‑Ray Remastered in 4K proposés par Sony Pictures.

 

 Qualité de fabrication et design One Slate/Ardoise

Le Sony KD‑65A1 profite évidemment d'une belle qualité de fabrication avec une dalle Oled placée entre deux plaques de verre assez épaisses et cerclées d'aluminium. En effet, Sony n'a pas utilisé de coffre en aluminium à cause du système audio (assez particulier) employé sur ce TV (cf. plus loin dans notre banc d’essai), et nous avouons avoir ressenti une certaine appréhension lors de la manipulation de la dalle, le verre est si vite brisé…

Toute l'électronique est déportée dans un pied très costaud et épais (cf. photo ci‑dessous), qui fait contre poids, placé à l'arrière du TV tel un tableau posé sur un trépied. Visuellement, nous ne voyons donc qu'une dalle de verre sans bord apparent posée directement sur le meuble TV ou accrochée au mur. Par contre, nous regrettons que la dalle soit inclinée vers l’arrière selon un angle de 5 degrés. Ce n'est vraiment pas pratique car, sauf à poser le TV au sol, il est nécessaire de disposer d’un meuble bas assez profond et large pour accueillir le TV sans risque et profiter d’un bon axe de vision. Sony avait déjà tenté cette inclinaison dans le passé avec ses modèles Monolithe et déjà nous étions septiques sur cet aspect. Il est donc étonnant de voir Sony reprendre ce concept une nouvelle fois. Sinon, il reste bien évidemment l'option d'accrocher le TV au mur…

Pour revenir à ce pied, il est donc pliable et se rabat contre la dalle en cas d'accroche murale. Le bout du pied, très lourd (car rempli de plomb) et qui sert à faire contre‑poids lorsque le TV est posé sur un meuble, est amovible. Si on opte pour une accroche murale, il doit donc être retiré, rendant en cela la connectique facilement accessible, celle‑ci est entièrement dirigée vers le bas.

Elle offre une panoplie assez classique, avec les connecteurs habituels : quatre entrées HDMI 2.0b (dont une compatible ARC) toutes compatibles 2 160p/60, Rec.2020, HDR10, Dolby Vision et certifiées HDCP 2.2, un double tuner DVB‑T2/DVB‑C/DVB‑S2 compatible HEVC et donc Ultra HD HDR, une sortie optique, une sortie stéréo 2.0/casque/Subwoofer, deux ports USB 2.0, un port USB 3.0, un port CI+ et un port Ethernet.

Au chapitre de la connectivité, on note les fonctions Wi‑Fi, le Wi‑Fi Direct, Google Cast et Bluetooth. Au passage, précision qu'il est désormais possible de recevoir le bouquet Canal+ et toutes les chaînes de la TNT grâce à des applications, Molotov.tv par exemple, et donc sans décodeur externe. Autre précision, le TV dispose désormais d'un espace de stockage interne de 16 gigaoctets.

Le design s’avère donc statutaire. À noter, la présence d’une dalle dotée d'un traitement anti‑reflet d'une efficacité limitée, autorisant quelques reflets en plein jour, mais rien de catastrophique. Du classique en somme de ce côté‑là. En fait, la petite originalité des TV Sony A1 se cache au sein du système audio.

 

 Système audio impressionnant et original !

Le Sony KD‑65A1 embarque un système sonore vraiment novateur. Les fréquences aiguës et haut‑médiums sont directement reproduites par la dalle de verre. Oui, oui, vous avez bien lu. Sony a placé quatre vibreurs (excitateurs) collés derrière la dalle, maintenue par une barre épaisse en aluminium. Le plus intéressant avec ce concept n’est non seulement le rendu sonore bluffant, mais la localisation des sons sur l'image. Au sens littéral du terme… Par exemple, si une personne parle, le son de sa voix est émis à l'endroit de l'image où elle se trouve. Cela donne une spatialisation unique en son genre.

Par contre, on trouve tout de même un boomer accordé en bass‑reflex avec un évent situé sur le pied pour la prise en charge des fréquences graves et bas‑médiums. Au final, nous avons un rendu sonore puissant, riche, équilibré, très spatial, d'excellente qualité avec une large réponse en fréquences. Les graves sont bien présents et surtout les aigus sont d'une précision étonnante. Étonnamment, c'est probablement l’un des meilleurs rendus sonores que nous avons pu écouter sur un TV jusqu'ici ! D'autant plus qu'il est toujours possible d'ajouter un vrai caisson de grave grâce à une sortie audio qu'il est possible de régler sur sortie casque, stéréo 2.0 ou LFE avec un crossover à 80 hertz. Le seul regret, c'est l'absence de mode « voie centrale » qui aurait permis d'utiliser le système audio du TV comme enceinte centrale dans un système audio multicanal.

Pour le reste, Sony a conservé les mêmes réglages avec un EQ manuel, un mode Film, Musique, Standard et Football. On retrouve un amplificateur S‑Master Digital Amplifier Class D de 50 WvRMS, le processeur DSEE (Digital Sound Enhancement Engine) et le mode ClearAudio+ qui améliore les bandes‑son compressées, ou encore l'algorithme S‑Force Front Surround. Évidemment, comme tous les TV Sony, le Sony KD‑65A1 est compatible DTS et Dolby Digital Plus via HDMI ARC mais toujours pas de gestion des signaux DTS‑HD ou Dolby TrueHD.

 

 OS Android TV 6.1

 

Comme toute la gamme 2017, le Sony KD‑65A1 embarque un OS Android TV (en 6.1 Marshmallow lors du test, il devrait évoluer en 7.1 Nougat prochainement). Si le fonctionnement est strictement identique aux années précédentes, nous avons toute même eu la bonne surprise de constater une évolution concernant le processeur principal mis en œuvre ici, avec un spécimen Quad Core en lieu et place d’un Dual Core sur le Sony KD‑65ZD9. Bien sûr, la réactivité s’en trouve largement fortifiée. Évidemment, nous avons constaté la présence de quelques petits bugs lors du test, mais cela reste anecdotique surtout en considérant qu'il s'agit d'un prototype non finalisé, qui sera mis à jour avant sa commercialisation.

On trouve donc un SoC Mediatek MT5891 et un CPU Quad Core ARM Cortex‑A53 (cf. photo ci‑dessous) pour booster l'utilisation des applications et la réactivité de l'interface, notamment pour faire tourner les jeux. Le GPU est toujours un ARM Dual Core Mali‑T860 (cf. seconde photo ci‑dessous). Pour être honnêtes, nous aurions préféré des processeurs encore plus puissants pour la partie Android TV, surtout sur un modèle phare comme le 65A1, mais cela commence à devenir intéressant….

Par contre, rien à dire du côté du décodage multimédia et traitement vidéo, les résultats sont superbes ! Certaines vidéos Ultra HD HDR lues via USB offrent une qualité d'image incroyable, qui n'a rien à envier à un bon lecteur Ultra HD Blu‑Ray. Et la quasi‑totalité de nos vidéos ou musiques a été lue sans encombre et même l'affichage du ratio natif des vidéos est désormais respecté.

Netflix et Youtube sont disponibles en Ultra HD/4K grâce au support HEVC et VP9. Évidemment, nous avons aussi essayé des applications multimédias comme VLC ou Kodi, ce dernier s'annonçant comme l'un des gros intérêts de cette interface. Si Kodi est évidemment intéressant avec ses nombreux Plug‑Ins et systèmes de jaquettes, force est de constater que la gestion du Bitstream audio HD n'est toujours pas efficiente, mais difficile de savoir si cela vient d'une limitation du TV et sa fonctionnalité ARC ou de Kodi.

Citons également le nouvel Archos Media Player qui nous a semblé intéressant pour ceux qui voudraient profiter d'un système de jaquettes (ou Jukebox) très simple à installer, mais là encore, il ne gère pas l'audio HD et présente quelques lacunes. Malheureusement, et en bref, aucun logiciel de lecture ne permet de profiter à 100% de toutes les capacités multimédia rendu possible par l'utilisation d'un OS Android TV. Il n'est pas rare de devoir basculer sur l'un ou l'autre des logiciels de lecture pour lire un format spécifique. Cela dit, le lecteur par défaut est très complet et suffisant pour de nombreux utilisateurs.

Au final, cette interface utilisateur, très proche de l'expérience proposée sur smartphone ou tablette Android, offre des possibilités énormes et variées à travers moult applications et services, et commence à devenir vraiment intéressante. Nous sommes persuadés que Sony va encore progresser sur le sujet et que le passage à Android TV Nougat permettra d'offrir toujours plus de possibilités, même si tout ne dépend pas de la marque japonaise, tant s'en faut (Google et les développeurs de chaque application restent les maîtres d'œuvre).

L'environnement est moderne, dynamique et très intuitif. Jugez plutôt, l'écran Android TV met en avant des propositions de programmes télé ou VOD en rapport avec vos goûts, l'accès à Netflix bien sûr, plus les dernières applications ou jeux utilisés… Mention spéciale pour les joueurs, on peut même connecter une manette de jeux Android et, Sony oblige, la manette des consoles PS3 ou PS4 est reconnue. Au passage, nous avons pu visionner quelques extraits du nouveau Gran Turismo 4K HDR, tout simplement hallucinant de réalisme avec des visuels à couper le souffle ! Bref, même sans Ultra HD Blu‑Ray, Blu‑Ray ou DVD sous la main à regarder, le Sony KD‑65A1 offre largement de quoi se divertir ! Enfin, on trouve bien sûr un navigateur internet, Opéra pour ne pas le nommer…

 

 Concurrence

De nos jours, il existe donc de plus en plus de spécimens Oled, pour notre grand plaisir, et cela devrait contribuer à voir les prix baisser relativement rapidement. Le Sony KD‑65A1 rencontre donc divers concurrents dont évidemment les TV Oled LG millésime 2017. On peut citer par exemple le LG 65G7V qui semble le modèle le plus à même de concurrencer le Sony KD‑65A1 avec les compatibilités Dolby Vision, HLG et HDR10, un mode pré‑calibré Technicolor (assez similaire au mode THX), la certification ISF (donc de nombreux outils pour réaliser un calibrage fin), un pic lumineux annoncé proche des 800 nits (réglage dalle Oled 2017), et un nouveau processeur vidéo MP16+. D'autre part, le 65G7V se démarque par une compatibilité Dolby Atmos via ARC et une barre sonore de très bonne qualité signée.

Autre concurrent intéressant, le Panasonic TX‑65EZ1000, plus onéreux à 6 999 €, mais annoncé plus lumineux (1 000 nits) même si cela reste à confirmer lors d'un test. Ce TV se démarque évidemment par le savoir faire de Panasonic au niveau de la colorimétrie et du respect des standards du cinéma avec un puissant processeur HCX², une certification THX 4K Display et ISF, et un traitement anti‑reflet très performant.

On peut également citer le Philips POS9002F qui s'annonce également très prometteur avec le célèbre et exclusif système Ambilight, un OS sous Android TV, et plusieurs nouveautés très intéressantes comme le nouveau traitement vidéo P5 Perfect Picture Engine (cliquez pour en savoir plus), le Micro Dimming Perfect, ou le dispositif Color Booster 17 bits pour un espace couleur étendu (99% DCI‑P3) qui devrait lui aussi, à l'instar du Super Bit Mapping de Sony, réduire considérablement les soucis de postérisation.

 

Verdict technique et conclusion, la suite à lire sur avcesar.com

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