Réalisée de façon totalement organique, cette progression a été portée par la hausse des commandes (environ 850 000 sur l’exercice), l’appréciation du panier moyen (+ 6,4%) et la croissance du nombre de clients recrutés (+340 000 dont 90 000 sur le dernier trimestre).
Voici les raisons de cette croissance évoquées par le groupe :
- La conquête de nouvelles parts de marchés sur les activités LDLC.com et LDLC.pro
- Une croissance toujours soutenue des relais de croissance Maginéa et Anikop avec 7,3 M€ pour l’ensemble soit +28,1 % ;
- Le début du déploiement du réseau physique avec l’ouverture d’un magasin à Villefranche-sur- Saône (juin 2013) et du premier franchisé à Bourgoin-Jallieu (mars 2014) portant ainsi à quatre le nombre de points de vente à l’enseigne LDLC.com
Ouvrir de nouveaux magasins… Et une école
Le distributeur spécialisé dans les produits High Tech vise toujours 500 millions d’euros de chiffre d’affaires et 5% de rentabilité opérationnelle à l’horizon .
Olivier de la Clergerie, Directeur Général, s’exprime à ce sujet : « d’importants efforts commerciaux ont été fournis ces trois dernières années. Ils ont été indispensables pour positionner le Groupe dans la dynamique actuelle de croissance à deux chiffres. Tout en poursuivant dans cette voie, nous allons concentrer nos efforts sur une nouvelle phase de structuration du Groupe. Des chantiers importants nous attendent dès maintenant. Cet exercice, charnière pour le Groupe, est celui qui permettra de se placer dans une position idéale pour accélérer et étendre son emprise sur le secteur du High Tech online et offline dans les prochaines années ».
Parmi ces investissements, le Groupe va travailler sur l’évolution de sa plateforme logistique.
La stratégie d’implantation du réseau physique, avec un objectif de 6 nouvelles ouvertures de points de vente, confirmera son développement.
Autre investissement concernant ses salariés, futurs et actuels : l’ouverture de L’Ecole LDLC. Programmée pour septembre 2015, elle sera destinée à former les futurs cadres de l’économie numérique.